Midi 24

Deux univers complémentaires, mêlant illustration, surréalisme et graffiti. Proches de la nature et sensibles aux animaux, ces deux artistes, qui se sont rencontrés à l’autre bout du monde, s’amusent à détourner et à déformer cet univers. Deux âmes d’enfants, ouvertes à toutes les techniques, sans règles ni limites. Nos créations sont souvent surréalistes et colorées.

Isane & Stel

Megan Oldhues

Megan Oldhues, basée à Toronto, au Canada, se spécialise dans l’art figuratif classique, s’inspirant de la « brutalité » de la condition humaine qu’elle a souvent vécue dans sa vie antérieure. Elle cherche à résonner auprès du public en utilisant des aérosols pour raconter des récits captivants et en réfléchissant sur des expériences universellement reconnaissables à travers le muralisme et la peinture.

Ciclope

Ciclope est un projet qui utilise différents langages, tels que le design, l’architecture et la communication, pour créer un dialogue. La force de l’œuvre repose sur une relation intime avec la nature, sa puissance et ses formes organiques. Simultanément, des éléments plus rigides, tels que des lignes, des courbes et des composants géométriques, sont introduits, conférant un sentiment d’intégrité à la composition artistique.

Fokus

Né à Saint-Étienne en 1996, Fokus est autodidacte en graffiti depuis une dizaine d’années et diplômé des Beaux-Arts de Valence. Son travail s’ancre dans un héritage du lettering, un langage qu’il ne cesse de déconstruire en jouant avec les codes propres à cette discipline. Fokus fait partie du collectif Sorry Graffiti et de la GEK team. Il vit et travaille dans la Drôme.

Remy Uno

Les débuts de Remy Uno remontent à la fin des années 90. Après plusieurs années de travaux de commande avec Lartmada, il part à Berlin pour développer une expression plus personnelle de sa peinture. Intéressé par l’image comme relation entre deux réalités, il se penche sur l’intime et ses actions silencieuses.

Heng

Heng commence à peindre à la fin des années 90. Attiré par le graffiti, il fait ses débuts à Avignon, puis à Aix et Marseille. Après des années à peindre uniquement sur les murs, il passe maintenant beaucoup de temps en atelier. Inspiré initialement par la grande ville et son côté démesuré, voire inhumain, il s’obstine à déconstruire le paysage urbain, à casser le rectiligne et à froisser la matière.

Spontanément, ses toiles se couvrent de masses dynamiques qu’il façonne avec énergie, faisant surgir du néant un monde en clair-obscur composé de nuées de couleurs vives et de perspectives sauvages.